Article sponsorisé par l’appareil photo de Gaëlle

 

Depuis Paracas, notre minibus nous amène directement jusqu’à Huacachina, un petit village touristique fondé autour d’une oasis. Un peu éreintés par cette journée intense, on décide de remettre au lendemain notre sortie dans les dunes pour mieux en profiter.
On trouve un hôtel pas grand luxe mais dans nos prix, et on va se faire un bon repas de touristes dans un bon resto à touristes, et puis dodo !

Le lendemain, d’humeur paresseuse, on s’accorde une grasse mat’ et un brunch de compétition.

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« Un brunch de compétition ». Tu sens que nos standards ont baissé

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Donc quitte a bouffer de la merde, autant bouffer un bon vieux burger au p’tit déj

On passe la journée à papoter, se faire des tatoos, des trucs de fille quoi.

Et puis à 16h, on a rendez-vous pour la fameuse sortie dans les dunes, on monte à bord d’un buggy rutilant, j’ai peur !

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Belle crispation non simulée

On se dirige vers les dunes et on prend rapidement de la vitesse pour s’enfoncer dans le désert, bientôt on ne voit plus que du sable autour de nous. C’est magnifique, surtout dans la lumière dorée de la fin d’après-midi.
Je me prends un peu pour Tintin au pays de l’or noir.

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Et hop, encore du rien mais avec un peu de relief cette fois

Notre chauffeur est marrant et prend un malin plaisir à prendre les dunes de plein fouet, ça secoue vraiment !

On fait quelques stops où on s’amuse à photographier le désert sous tous ses angles.

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Un buggy en train de rouler dans rien à pleine vitesse

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Devant, derrière, à gauche, à droite : du rien, partout

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Même de près, on voit que le rien est finalement constitué de pas grand chose

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« Vous êtes so 2015 ! La mode en métropole aujourd’hui, c’est black n’ white ! »

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« Ptet mais on assume complètement notre dégaine casual sportswear ! »

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Et vient le moment tant attendu : la descente en sandboard ! Pour les néophytes, une planche où l’on s’installe pour dévaler en toute élégance les dunes de sable.

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« Voy a empujarte por el culo ! » -« Qué? »

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J’me souviens très clairement de ce que Claire a dit à ce moment. Elle a dit : « Aaaaaaaaaahhhhhhhhh »

Une fois la planche bien cirée, ça descend vraiment vite et les sensations sont hilarantes. J’ai presque autant ri que pendant notre cours de surf.

Une fois qu’on a bien rempli de sable chaque interstice de notre corps, notre chauffeur nous emmène à un dernier spot pour admirer le coucher du soleil. On prend la pose, on tente des figures acrobatiques, on fait une vidéo d’anniversaire pour Eric, on s’amuse bien, et on en oublie notre groupe, le buggy a bien failli repartir sans nous !

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C’était vraiment trop marrant. Bon on est loin d’être tout seuls dans le désert et ce n’est pas une activité spécialement écologique, mais il faut avouer que c’est rigolo comme tout.

L’été prochain, sandboard à Bray-Dunes !

 

Catégories : Amérique du sudPérou

5 commentaires

Clem · 10 décembre 2016 à 15 h 48 min

A quand l’équilibre Alex? Tu peux commencer par faire le poirier sur un mur pour y aller en douceur.

Mamou · 10 décembre 2016 à 15 h 55 min

C’est beau le sable, la joie des enfants …. et un beau soleil en dessert

    Claire · 10 décembre 2016 à 16 h 47 min

    Toujours très poétiques vos commentaires Mamou, j’adore 🙂

Johan · 14 décembre 2016 à 13 h 19 min

Ca envoie du rêve les amis ! Et cette roue !

Louise · 15 décembre 2016 à 21 h 27 min

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